Ce jeudi 16 décembre, mes collègues et moi, affamés, allions nous en mettre plein la pense au fameux Bistrot Dumas.
Voici toute l’histoire (en images) !
Le Bistrot Dumas est un restaurant « canaille » sur le Plateau de Champel, au 6 de l’avenue qui porte son nom. Si Alexandre avait écrit là bas, c’est surement le ventre plein !
Une ambiance brasserie, des mets succulents, de quoi s’en mettre plein derrière la cravatte. Avis aux amateurs !
Voici ce que nous avons pu déguster. Je précise que je n’ai mangé qu’une entrée et qu’un seul plat, même si j’ai peut-être un tout petit peu goûté à ceux des autres. Canaille mais pas garnement égoïste, le partage fait partie du plaisir.
Pour les entrées, hormis r3m1 et groquik qui se sont délectés de l’os à moelle, ci-dessous, 6meon, jef et moi nous sommes orientés vers ces « mets à partager ».

J’ai commandé cet étonnant arbre à saucissons:

Cette potence présentait alors un saucisson… « normal », un autre aux noix, un aux cèpes, un de sanglier, un à la myrtille et un plus sombre poivré au sang. Quel délice… et la planchette et couteau amenés n’étaient point de trop !
J’ai pu goûter à quelque terrine que Jef avait commandées:

ainsi qu’aux rillettes de 6meon:

Le bougre avait préféré celles de canard, bien que le tout à chacun sait bien que les meilleures sont d’oie.
Malgré un planing serré, l’estomac bien moins à son aise qu’au départ, nous attaquions la deuxième canette pour accueillir comme il se devait les plats suivants.
J’ai choisi de regoûter au pied de cochon. J’en avais un mauvais souvenir: je n’avais pas su apprécier un pied de cochon traditionnel à sa juste valeur, n’aimant guère ces cartilages. Celui-ci était désossé et pané, et accompagné d’une sauce à la hauteur. Un régal !

6meon, notre alsacien du sud se devait de jauger leur choucroute. Il ne nous en dit que du bien, même s’il ne sut finir son assiette (BOUH!). Il pouvait tout de même compter sur la patience, le dévouement et le don de soi de ses collègues pour l’aider, bien entendu. Une vie de sacrifice forge cet esprit de corps bien connu du combattant.

r3m1 ne dérogeait pas à la règle, du moins, pas la sienne, en optant pour une viande rouge. Un onglet à l’échalote bien parfumé lui servait de refuge en ces temps froids et difficiles.

Groquik ne pouvait faire autrement que dévorer une poelée de rognons et ris de veau à la moutarde. C’est sa manière à lui de se faire remarquer, on ne pourrait lui en vouloir après tout.

Le vieux^WJef nous attendri quand il dû s’attaquer à son andouillette à l’ancienne (à la moutarde). Quel dévouement, quelle carrière ! Et qu’on nous dise ensuite que les cyclistes ne se dopent pas…

Faute de temps, nous ne pûmes nous étendre en longueur sur un buffet de desserts saisissant et émouvant. Les TPG dictant notre périple, le temps imparti s’appauvrissait et nous devions rentrer.
Si vous ne savez pas prendre du plaisir en mangeant, vous satisfaire d’un ventre bien tendu ni de faire d’un plat une histoire, je vous déconseille ce restaurant. Là bas, c’est un régal, un pèlerinage obligatoire, et un sourire figé de temps de bonnes choses !
J’aimerai bien avoir le même tee-shirt que le mec sur la deuxième photo !
Ha ! alors comme ça 6meon n’a pas terminé son assiette ?! Bon d’un côté il fallait bien me remplacer avec qqn d’équivalent 🙂
terrible l’article. bravo.
et moi aussi je veux le même tshirt: FUO TRE WOHLD c’est trop cooooool !